Kamalamania
Kamala Harris n'est pas ce que la presse dit qu'elle est et encore moins ce que la presse a dit qu'elle était depuis 2020. Plongée en psychose profonde.
La grande presse française, constante dans sa vacuité, présente déjà Kamala Harris comme la candidate démocrate à la présidentielle. Tout en s’appesantissant sur Barack Obama, dont l’élection est présentée comme historique alors qu’il n’en fut rien. L’élection d’Obama, c’est la famille Pritzker, qui fait la pluie et le beau temps sur Chicago (la ville la plus corrompue des USA devant New York), les grands lacs (voie commerciale critique), une bonne partie du Midwest et dans le parti démocrate. Penny Pritzker, ministre du commerce international de Barak Obama, un pur hasard.
Une fois de plus, il ne s’agit pas pour L’Eclaireur de prendre parti dans l’élection présidentielle américaine mais de décrire la réalité telle qu’elle est, ce que la grande presse française se garde bien de faire.
Kamala Harris, actuelle vice-présidente des Etats-Unis, est la putative candidate du parti démocrate. Enfin, démocrate, c’est vite dit puisque les électeurs de ce parti ne l’ont pas choisie lors des primaires auxquelles elle n’était pas candidate. C’est donc le “politburo” de ce parti, Hillary Clinton, Barack Obama et grands donateurs en tête, le tout amplement relayé par les médias mainstream, qui l’ont propulsé candidate dans une ferveur démocratique qui en aurait fait pâlir de jalousie Joseph Staline. Pour une raison fort simple : ils n’ont personne d’autre d’une notoriété nationale équivalente et surtout d’une malléabilité comparable.
Après avoir décidé de pousser Joe Biden à concourir pour un second mandat alors que, dès 2020, tout le monde le savait diminué au point ne pas être apte à l’exercice de son mandat, ce politburo a décidé de s’asseoir sur les scrutins et d’imposer Kamala Harris avant même la convention démocrate durant laquelle les délégués de chaque Etat doivent élire le candidat. Le parti démocrate prendrait-il exemple sur le PS français et sa longue habitude de truquer les élections internes ?
Vous nous direz, le niveau de corruption du parti démocrate a toujours été tel qu’on peine à distinguer quelle primaire n’a pas été truquée dans l’entièreté de son histoire. Ecoutez Renaud Beauchard expliquer comment celles de 2016 et de 2020 le furent.