Vaccins Covid-19 : la grande braderie
Après avoir tenté avec l'OMS, la Commission européenne et la Fondation Bill Gates de refourguer les "vaccins" à ARNm aux pays en développement, on essaie avec la Chine. Nonobstant les alertes...
Non contente de détruire les stocks de “vaccins” 1 anti-Covid périmés quand elle n’arrive pas à rallonger indéfiniment leur durée de conservation, l’Europe propose à la Chine de lui en refourguer pour, dit-elle, aider le pays à endiguer une vague qu’il ne maitriserait pas. Tant de solidarité et d’abnégation fait chaud au cœur quand on sait que cette proposition est totalement désintéressée puisque gratuite.
Oui, la Commission européenne propose tout simplement de donner des “vaccins” que le contribuable a payé aux laboratoires 71 milliards d’euros. Quels “vaccins” ? Combien ? On n’en sait fichtre rien.
Ce que l’on ne sait pas non plus, c’est l’ampleur de la contagion en Chine, si tant est que cela ait une quelconque importance au vu de l’inefficacité d’une vaccination massive et indifférenciée. Les autorités chinoises faisaient état au 21 décembre de 1 800 cas et 7 décès depuis la levée des restrictions au début du mois ? Airfinity, une société britannique de données sur la santé à qui on n’a rien demandé, estime elle le nombre de décès à 5 000 par jour (pour un million de cas). Et peut-être bien 9 000 demain. Foi de modélisation, qui on le rappelle repose sur des hypothèses souvent très simplificatrices, mais passons…
Manque de transparence? La Chine a surtout une autre façon de communiquer sur sa comptabilité Covid, en s’en tenant aux cas graves et aux décès, comme l’a rappelé Jiao Yahui, haute responsable de la Commission nationale de santé (NHC), l’équivalent de notre ministère de la Santé, citée par Le Figaro. Et non à coups de communiqués sur des taux d’incidence qui n’en sont pas puisque dénombrant des tests positifs, non pas des malades diagnostiqués.
Un autre façon de comptabiliser les décès aussi. En Chine, seuls les patients morts d'une déficience respiratoire provoquée par le virus après avoir été déclarés positifs à un test PCR sont considérés comme morts du Covid.
Quand en France, on y a à peu près tout mis au mépris le plus complet de la cause réelle du décès, comme on l’expliquait il y a un an. Jusqu'à fin 2021, Santé publique France avait en effet intégré dans ses statistiques d’hospitalisation des patients avec des PCR positifs mais pas malades du Covid.
Même topo en Allemagne. Outre-Rhin, le gouvernement avait donné instruction aux instituts de veille épidémiologique de créer un modèle produisant des prévisions catastrophistes permettant de justifier des restrictions très dures. C’est ce qui ressortait d’échanges d’e-mails révélés par Die Welt entre le secrétaire d’État Horst Seehofer et ces instituts, au nombre desquels l’Institut Robert Koch, qui se sont exécutés en développant en quatre jours le modèle apocalyptique commandé.