Mal en psy ; Octobre pas si rose; Israël et le Hamas (et les médias et Ursula); courts-circuits électriques
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Les suicides en hausse en France ? Et maintenant une page vidéo !
Le gouvernement dégaine l’artillerie lourde. Face à la dégradation continue depuis trois ans de la santé mentale des jeunes et derrière, la détérioration depuis une quinzaine d’années de la prise en charge, les pouvoirs publics s’en remettent, non pas à un numéro vert, c’est déjà fait, mais à la promesse d’une campagne sur les réseaux sociaux à l’intitulé presque enchanteur.
Sur la santé mentale, lire nos articles :
Décliné en cinq vidéos, “Le fil good” promet de décrypter les comportements qui “permettent de prendre soin de sa santé mentale”, dixit Santé Publique France. Nous n’avons pas pu visionner ces vidéos – elles ne sont visiblement pas encore en ligne – mais nous avons quelques propositions. Comme manger bien, et mieux. Et ne pas pointer de manière déplacée et systématique comme l’a laissé entendre un brillant éditorialiste de LCI, aux Restos du cœur... Faire du sport aussi, ce peut-être bien. Là aussi, il y a la queue. Car oui, de nombreux clubs, faute de moyens, ne peuvent plus absorber plus de licenciés comme à Lyon par exemple, en laissant nombreux sur le carreau.
Mais en cette journée mondiale de la santé mentale, et alors que la veille, le 9 octobre, Santé Publique France avait publié un nouveau bulletin s’alarmant de l’augmentation en cette rentrée 2023 des idées et gestes suicidaires chez les jeunes, on se dit qu’on est pleinement rassuré de voir les pouvoirs publics embrasser la cause de manière aussi volontaire et engagée. On se rappelle que le 8 juillet 2020, à l’Assemblée nationale, Olivier Véran avait promis de “mettre le paquet sur la pédopsychiatrie”. On peine à imaginer ce que cela aurait été s'ils n'avaient pas mis le paquet.
Ce n'est pas faute de décliner la politique publique en plans et autres grands raouts. Ce qu'il en advient par contre... Dernières en date, les assises de la psychiatrie de septembre 2021 ont accouché d’une souris. Quant au conseil national de la refondation spécial santé mentale annoncé par Emmanuel Macron au nez et à la barbe de son ministre mais aussi et surtout des organisations professionnelles même pas consultées, il ressemble fort à un énième comité Théodule. A moins que l'idée soit de travailler en petit comité, à l'abri d'organisations professionnelles bien trop remuantes ou de députés mal intentionnés...
Un de plus. Car il existait déjà un CNR santé (pas santé mentale) lancé il y a un an. Et il a défini ses priorités, avec des projets labellisés. En Auvergne Rhône Alpes, c'est lutter contre la stigmatisation (dans la Drôme) ou former des ambassadeurs en santé mentale (dans le Rhône). C'est orienter ou réorienter les patients (au centre hospitalier du Vinatier, L'Eclaireur vous avait déjà parlé de cette opération qui relève surtout de la redistribution). On y trouve aussi la création d'un espace de coworking médical et paramédical comme un tiers-lieu santé. Bref, du psy et du non-psy qui ressemble davantage à du saupoudrage que de véritables mesures structurelles et pensées.
Car la question de fond, celle d’un plan Marshall de la santé mentale, au travers de la restructuration totale de la filière et d’une loi-cadre comme l’appelle de ses vœux l’ensemble de la profession, et non de simples rustines (le chéquier psy par exemple), reste manifestement dans les bas-fonds, voire les tréfonds de l'exécutif. On se rappelle que le député Matthieu Lorphelin s’était attelé au dossier. Il en avait fait une proposition de loi. Las, en 2022, il n'a pas été réélu. C'est la députée Renaissance Huguette Tiegna qui a donc pris le relais et déposé en janvier une proposition de loi. Et ? Le texte est toujours en l'état de proposition.
Bébés décapités à Kfar Aza : prise de guerre (médiatique)
“Des bébés décapités, de nombreux bébés décapités, vous nous confirmez cette information ?”, demande le journaliste de BFM-TV en plateau à la porte-parole française de Tsahal, l’armée israélienne. “Oui, c’est une information que j’ai énormément de mal à confirmer mais elle est malheureusement vraie, des maisons brûlées, des bébés décapités, des personnes enceintes, des personnes âgées… un massacre”.
Passons sur le fait que l’officier se contredit dans la même phrase. Que le doute est donc plus que permis, ce qui n’empêche pas BFM de twitter, sur la base de tels propos, “Attaque dans deux kibboutz: une porte-parole de l'armée israélienne confirme qu'il y a eu "des bébés décapités"". Et hop, adjugé, prouvé.
Sans minimiser l’horreur des massacres de centaines civils innocents dont des enfants perpétrés par le Hamas, on va rappeler qu’en temps de guerre, la propagande, de tous bords, est un préalable à bien avoir en tête. On va aussi rappeler qu’il y a de lourds et gros précédents, et ils ne sont pas bien vieux. Rappelez-vous le faux charnier de Timisoara en Roumanie où il s’avéra que les cadavres exhibés devant les caméras du monde entier avaient été déterrés dans un cimetière. Qu’on se rappelle aussi le scandale des bébés prématurés arrachés de leurs couvreuses au Koweit : pour faire accepter la guerre du Golfe, on avait inventé un massacre de nouveaux nés, décrit en directe à l'ONU par une membre de la famille royale koweiti. Les médias avaient gobé, avant finalement de se rétracter. Trop tard.
Il y a eu le vrai-faux massacre de Racak en 1999 au Kosovo, qui avait entrainé l'intervention de l'Otan. Plus près de nous, le massacre de Boutcha n’a officiellement toujours pas été éclairci, mais les médias occidentaux l’ont derechef attribué aux Russes. Et tant pis si la manœuvre est grossière. L’Eclaireur vous en avait parlé dans un article à lire ici.
Bref, il faut bien avoir en tête que dans une guerre, l’autre gros champ de bataille est celui de l’opinion publique. Sur le terrain médiatique. C’est somme toute classique, on ne le découvre pas maintenant. A croire que nos médias si. Mais à Kfar Aza, les médias ont franchi un palier. Car, les "informations" de ce qui reste des suppositions de décapitations de bébés, initialement propagées sur l’antenne de BFM (encore) par Mael Benoliel, journaliste à la chaîne franco-israélienne i24News, qui appartient au même groupe (Altice, groupe Drahi) que BFM, n'ont pas été confirmées par des sources militaires israéliennes.
Octobre rose : une com' pas toute blanche
En France, on a manifestement un peu de mal avec les effets secondaires des traitements. On ne va pas revenir sur les vaccins contre la Covid, le ministre le fait suffisamment pour tout le monde. Mais nous pencher sur Octobre rose, ce mois dédié à la sensibilisation au dépistage du cancer du sein, qu'il est de bon ton de soutenir, et surtout de le faire savoir – le fameux ruban rose.
On va résumer grossièrement la campagne, telle qu'elle s'affiche un peu partout : la mammographie de dépistage, tous les deux ans, c'est bien. Cela permet de détecter plus tôt, et d'augmenter ainsi les chances de survie.
Sauf qu'il y a le revers de la médaille : le dépistage, tous les deux ans, ne met pas à l'abri de la survenue de ce que l'on appelle un "cancer de l'intervalle". La mammographie détecte parfois trop bien aussi : ce sont les surdiagnostics et les surtraitements. Et il arrive également que la patiente, exposée à des rayons de manière répétée, hérite d'un cancer. Tout ceci est désormais entendu et avéré. Et là, on ne parle pas de la controverse sur les bénéfices attribués au dépistage, que certains mettent davantage sur le compte du progrès dans les traitements.
Quand bien même la balance bénéfices-risques penche en faveur des premiers (les bénéfices), au nom du consentement éclairé du patient, on s'attendrait à ce que la campagne, rose ou pas, expose les deux faces du dépistage. Et bien non. Pas un mot des effets indésirables sur le site de la fondation Arc pour la recherche sur le cancer. Mais tout un tas d'onglets sur comment organiser une collecte en ligne ou faire un don. Pas mieux sur le site de la Ligue contre le cancer où, là aussi, la cagnotte s'affiche en grand.
Même topo sur Ruban rose, l'association à l'origine d'Octobre rose, et qui a permis de collecter 3,3 millions d'euros depuis 2004.
Seul l'Institut national du cancer, qui avait été à plusieurs reprises épinglé par le magazine Que Choisir, notamment pour avoir classé la controverse sur l’utilité du dépistage à partir de 50 ans comme une infox, fait mieux, qui parle des "bénéfices" mais aussi des "limites" du dépistage.
Mais qu'importe puisqu'on a les outils, dixit Aurélien Rousseau. Et qu'il s'agit seulement de s'en saisir. Que la France manque de gynécologues et derrière, de médecins généralistes qui pourraient prendre le relais, n'est sûrement pour rien dans le fait qu'une femme sur deux ne s'en remette pas au dépistage systématique...
Guerre Israël-Hamas : d'impasse en impasse
Israël a demandé au million d'habitants de Gaza city d'évacuer la ville vers le Sud de la bande afin de préserver des vies civiles. Louable, mais comment distingue-t-on un civil d'un combattant du Hamas en civil ? Comme discrimine-t-on un civil afghan d'un taliban ? Comment le fait-on sur des routes encombrées d'embouteillages monstre de gens qui fuient des bombardements ?
L'objectif israélien semble être de détruire "l'infrastructure" du Hamas, donc de bombarder en masse avec des "bunker busters"1 ou équivalent, seul moyen de le déloger de ses installations souterraines. Accomplir cet objectif signifiera raser une bonne partie de la ville. Et quand bien même : rappelons-nous les bombardements de masse américains pour réduire la piste Ho-Chi Minh au Laos : aucun effet militaire, des centaines de milliers de victimes civiles. Quant à un "nettoyage" par une opération de grande envergure au sol, il sera tellement meurtrier que même l'opinion publique israélienne ne l'acceptera pas.
Où iront les habitants qui auront évacué ? Vers le Sud, en direction de l'Egypte. On a pu entendre certains ces jours derniers dire que l'Egypte pourrait accueillir les Gazaoui. Des grands malades veulent créer une nouvelle nakba (catastrophe en arabe, mot que les Palestiniens utilisent pour décrire leur exode forcé en 1948).
Il faut sérieusement grésiller du trolley pour croire que les Egyptiens accueilleront des frères musulmans financés avec l'accord de Netanyahu par le Qatar, qui n'est pas un ami du pays des pyramides. Frères musulmans dont les Égyptiens ont déjà tant de mal à se débarrasser chez eux, alors que la confrérie y est née. Le maréchal Sisi a déjà dit que c'était hors de question. Il lui faudrait grésiller encore plus du trolley pour refaire l'erreur du Liban.
A moins qu'il ne s'agisse de forcer le Hamas à transférer les otages vers le Sud afin de les identifier par reco aérienne et de les libérer, ce qui est tout aussi imbécile, le Hamas s'étant vraisemblablement déjà assuré qu'une partie n'est pas détenue dans Gaza city. Tout en empêchant le mouvement de ses combattants, un peu comme la Wehrmacht le fit en France en 1940.
Israël, qui a déjà subi une défaite stratégique majeure, est en train de s'enferrer dans une impasse stratégique... Il semble que personne n’a retenu les leçons de la guerre en Ukraine.
Electricité : black-out gouvernemental
Il y a comme de la friture sur la ligne. Tout le monde se rappelle que, le 25 septembre, lors du discours sur la planification écologique, Emmanuel Macron avait dit vouloir "reprendre le contrôle des prix de l’électricité". Non pas sortir de l'absurde système de fixation des prix européens – indexé sur celui de l’électricité produite à partir de gaz, beaucoup plus cher que l'électricité produite à partir de l'énergie nucléaire. Non pas négocier une dérogation comme l'ont fait l’Espagne et le Portugal non plus.
Non, l'idée plus ou moins avancée était de reprendre le contrôle en plafonnant les prix de l'électricité nucléaire. Le mécanisme imaginé induirait, comme cela a été expliqué au Monde, de capter la "rente" dégagée au-delà d'un certain seuil pour la redistribuer sous forme d’aide aux ménages et aux entreprises. Et tant pis si, avec des prix plafonnés, EDF perd encore un peu plus d'argent...
Une sorte de "en même temps" qui permettrait de s'émanciper du marché afin de ne plus en subir les variations de prix, mais sans le quitter, afin de ne pas froisser Bruxelles. Même si on peut aussi voir dans la manœuvre une manière de couper l'herbe sous le pied des oppositions, qui toutes réclament la sortie unilatérale du marché européen.
On ne sait si l'idée a conquis Berlin, nulle doute que la question était au centre des échanges du séminaire franco-allemand qui s'est tenu à Hambourg les 9 et 10 octobre, à une semaine du Conseil européen consacré à l’énergie.
Toujours est-il que, derrière, des intentions sont toutes autres, comme le laisse à penser un projet de décret qui a opportunément fuité jusqu'à atterrir entre les mains de La Tribune. Pour éviter un blackout, l’Etat serait ainsi prêt à tester une limitation forcée de la consommation pour 200 000 Français équipés d’un compteur Linky. Et ce sans recours ni indemnisation possible.
Passons sur le fait que ceux qui s'inquiétaient d'un potentiel contrôle de la consommation via ces nouveaux compteurs étaient il n'y a pas si longtemps traités de complotistes (mention spéciale encore une fois au Ckecknews de Libération)... Passons aussi sur la cohérence avec l'électrification à toute berzingue du parc automobile français poussé par l'Europe...
En septembre 2022, un arrêté avait déjà donné la possibilité de suspendre momentanément l’alimentation électrique des chauffe-eau des usagers équipés d'un Linky. Le nouveau projet de décret vise, lui, les "équipements courants peu énergivores" pendant une durée maximale de quatre heures. Une mesure, certes en pré-phase de test, dont Agnès Pannier-Runacher s'est bien gardée de se vanter.
Jour de la nuit : Grenoble disjoncte
Plonger une ville dans le noir alors que le niveau urgence attentat du plan Vigipirate a été activé suite à l'attaque terroriste au couteau à Arras, n'est certes pas très opportun. Certes l'intention des maires qui ont perpétué l'initiative du Jour de la nuit, célébré ce 14 octobre, est louable dans le fond et n'y est pour rien dans le téléscopage des calendriers. Qui serait contre l'idée de sensibiliser à la pollution lumineuse et à ses impacts sur la biodiversité ?
Si à Lyon, la décision de s'en tenir à l'extinction des feux des batiments emblématiques de la ville ne souffre d'aucune contestation, à Grenoble, le maire EELV a manifestement disjoncté. Eric Piolle a tout simplement décidé de plonger deux heures durant les rues de la ville dans le noir, en éteignant l'éclairage public. Ce n'est certes pas la première fois. Mais chaque année, le périmètre s'élargit un peu plus, englobant pour cette édition des quartiers pas forcément "apaisés" (référence pour les non initiés au slogan local).
A tel point que pour des raisons de sécurité, le syndicat des mobilités a été contraint – puisque manifestement pas consulté – de mettre à l'arrêt quatre des cinq lignes du tram, ceux-ci ne pouvant rouler sans éclairage... Quant aux bus, ils rouleront dans le noir, et tant pis si malencontreusement, une trottinette, un cycliste ou un piéton passe par là.
L'opposition LR fustige le cavalier seul du maire de Grenoble dénonçant la lumineuse idée qui à l'insécurité ajoutera des surcoûts liés à la réorganisation à la va-vite des transports en commun. Tout aussi énervé, le président du syndicat des mobilités, avec qui Eric Piolle ne file pas vraiment le parfait amour, a dit faire tout ce qu'il pouvait pour faire circuler des navettes sur des morceaux de tronçon...
On se rappelle qu'en 2015, un an après avoir été élu, Eric Piolle avait été pris de la même fulgurance. Et avait décidé pour tout à la fois lutter contre la pollution lumineuse et réduire la facture d'électricité de baisser l'intensité des lampadaires des parcs – théâtres soit dit en passant d'agressions – mais aussi de certains quartiers de la ville. Lumineuse idée que voilà puisque appliquée dans des quartiers ô combien apaisés comme Saint-Bruno, lequel non content d'être une des plate-formes locales du trafic de drogue se plie depuis quelques années aux règlements de comptes... On se rappelle que le plan lumière avait mis en rogne les flics, fatigués de jouer au jeu du chat et de la souris avec les dealers. La Ville, elle, se dit très satisfaite de son opération. En six ans, elle a baissé la consommation de 45 % et économisé 3 millions d'euros d'énergie.
Unité ! Mach schon !
Curieux comme ça sent des milliards en armes et rien pour la diplomatie…
Le cirque est de retour en ville ! Pas de clown Zelensky cette fois-ci mais bibi ! Non pas nous, Netanyahu ...
Comme en Ukraine, on voit le défilé des "movers and shakers", des gens qui comptent aller jouer l'émotion devant les caméras. Cette capacité qu'ont ces goules aussi incompétentes que corrompues à se repaître de milliers de cadavres même pas encore froids pour le plaisir de paraître est insupportable.
Oui l'attaque du Hamas est une horreur indicible. Mais les analystes que nous sommes eux ne bouffent que des faits. Aussi froidement que consciencieusement. Pas pour amuser la galerie mais pour essayer de comprendre la réalité.
Ursula von der Leyen continue à se prendre pour ce qu'elle n'est pas, un chef d'Etat. Elle continue à croire qu'elle a une compétence en matière de politique étrangère, qu'elle n'a pas. La politique extérieure, c'est le Conseil, pas la Commission. Quelqu'un pour la remettre à sa place définitivement ?
Comme l'avait dit Guy Bedos, "on a inventé la guerre euthanasique, on tue les gens pour leur bien." Les Palestiniens ne sont pas le Hamas. Certains Palestiniens appartiennent au Hamas. Israël s'apprête à détruire Gaza City avec des "bunker busters" fournis par les USA, s'enferrant dans une impasse stratégique après avoir subi une défaite stratégique. Alors qu'Israël a depuis 1996 pactisé avec le Hamas afin d'affaiblir l'autorité palestienne et le Fatah. En acceptant que le Qatar frériste finance l'administration Hamas de la bande de Gaza...
Les bunker buster sont des bombes conçues pour pénétrer des cibles fortifiées ou des cibles enterrées en profondeur. Elles furent utilisées par l'armée américaine en Irak en 1991 et par l'armée israélienne au Liban en été 2006.
Merci de reprendre l'info parue sur La Tribune à propos des limitations forcées d'électricité. Et de la mettre en parallèle de l'installation à marche forcée des postes de recharges de voitures électriques. Je suppose que ceux-ci ne seront pas concernés par cette limitation qui sera réservée donc aux abonnés d'EDF pour leur logement! Comment la représentation nationale peut-elle accepter une pareille injustice ? Et comment se fait-il que le décret en question soit en diffusion restreinte?