“Je ne crois qu’aux statistiques que j’ai moi-même truquées” disait Chuchill. L’Etat français, pareil. Il dispose de tout un tas de “centres” et de comités Théodules financés à grands frais pour lui permettre de le faire.
Le “Centre d’études prospectives et d’informations internationales”, vous avez entendu parler? Cela dépend de Matignon. Le genre de chose à fermer et laisser faire l’INSEE en matière d’études statistiques, ou bien demander aux universités (pas les Science Po et pas les facs de sociologie) de le faire de manière scientifique, dans la plus grande rigueur, sans charge idéologique.
La politisation tous azimuts de science, à commencer par les sciences sociales, ça commence à bien faire.
Selon les données disponibles datant de 2020, 23,6 % des détenus étaient de nationalité étrangère, alors que la France comptait environ 7 % d'étrangers dans sa population. Plus récemment, en 2023, le nombre d'individus écroués d'origine étrangère était d'environ 18.345, ce qui représente une proportion similaire compte tenu de l'augmentation globale de la population carcérale.
La réalité, la voilà. Elle ne veut en aucun cas dire que tous les étrangers sont des délinquants mais que les ressortissants étrangers sont comparativement plus délinquants que les Français.
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